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Hello, je suis Campanita. Juste un petit blog pour partager mes petites créations ainsi que mes impressions sur le monde... Vous pouvez emprunter les images de mes peintures et dessins, mais veuillez me créditer si vous le faites.
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Doctor Who : Ncuti Gatwa Era
--> There’s never any such thing as monsters, they’re just... Just creatures you haven’t met yet.
« Alors c’est ça les Seigneurs du Temps : on vous coupe en deux et vous repoussez, comme pour les vers de terre ? » . Exactement, ma chère Donna ! Maintenant que je viens de résumer la bi-génération de la manière la plus ridicule (et sans doute incorrecte) possible, concentrons-nous sur ce qu’il est advenu de l’énergumène qui est littéralement sorti de David Tennant lors de l’épisode concluant la trilogie jubilaire pour les soixante ans de la série. Doctor who ? New New Who, nouveau nouveau Docteur, nouvelle direction. Son prédécesseur ayant versé du sel aux confins de l’univers dans un accès de superstition, voici que la série prend un tournant plus irréaliste. Certes, Doctor Who n’a jamais relevé de la hard SF (ou alors ponctuellement sous la plume d’un auteur occasionnel plus versé là-dedans) et plus généralement mélange tous les genres possibles pour obtenir un délectable pot-pourri joyeusement foutraque, mais là on patauge carrément dans le fantastique, avec le parti pris que tout n’a pas forcément une explication rationnelle. La première aventure de Fifteen le confrontera à l’idée qu’avoir la poisse, c’est du sérieux. Et à un navire volant rempli de gobelins occupés à nourrir leur roi (qui a dépassé le stade d’obésité morbide depuis belle lurette) en lui acheminant sur un tapis roulant des bébés humains. Et qui le font tout en entonnant la chanson la plus catchy de l’univers. J’aimerais bien m’appeler Lulubelle !
Voilà donc de quoi sera faite l’ère du Docteur de Ncuti Gatwa : des chansons et du fantastique. Fifteen est une incarnation du Seigneur du Temps enjouée, le visage fendu d’un large sourire communicatif, extravertie, émotive et tactile. Vêtu d’une tenue bariolée (mais qui contrairement à Six a su s’arrêter avant de filer de la conjonctivite à toute la fanbase), il est prêt à partir explorer les galaxies en compagnie de sa grande copine Ruby avec qui il aime jouer les commères du lycée, et pourquoi pas flirter avec tous les BG qui passent. Petite particularité physique qui ne vous aura pas échappée : en effet, pour la première fois le Docteur est moustachu ! Du moins dans le canon, mais sait-on jamais, Peter Cushing va peut-être se voir canonisé, comme Richard E. Grant (voir plus bas pour une explication). Bien entendu, comme toujours avec ce personnage, la bonne humeur est une façade pour un aspect plus sombre. Peut-être que Fifteen profite de la thérapie effectuée par son prédécesseur auprès de la famille Noble, mais ses traumas ne seront jamais complètement soulagés. À ce titre, il n’oublie pas qu’il est l’Enfant Intemporel et que ses origines restent nébuleuses. RTD semble parti pour traiter cet arc mieux que Chibnall : sans être envahissant, ce problème reste dans un coin de la tête du Docteur qui en mesure toute la mavité. Le fait qu’il montre ses émotions, positives comme négatives, sans le moindre complexe, aide à en faire un personnage entier, sans faux-semblant, mais pas dépourvu de profondeur non plus. Également, il n’hésite pas à balancer les infos que les Docteurs précédents avaient tendance à garder pour eux à la grande frustration des compagnons : Gallifrey, la Guerre du Temps… et qui sait quoi d’autre… Note personnelle : pour la première fois, un acteur incarnant le Docteur est né après moi, bonjour le coup de vieux ! Doctor’s friends La première (et pour l’instant seule) compagne du quinzième Docteur est Ruby Sunday Sinon, il y a UNIT qui revient en grande pompe avec sa composition du soixantenaire : Kate Stewart, Mel Bush (toujours plus supportable que dans la série classique), on suppose même si on ne l’a pas vue que Shirley Bingham n’est pas loin, le Vlinx, le tout agrémenté de Rose Noble qui…est là. Reste à découvrir la nouvelle compagne, qui sera incarnée par Varada Setu (qui avait joué un personnage complètement à part dans la saison 1 mais sait-on jamais qu’il y ait un lien). Doctor’s fiends Pour l’instant, aucun des antagonistes iconiques (Daleks, Cybermen, Maître…) n’ont pointé le bout de leur nez (vous me direz, les deux premiers cités n’en ont pas ou plus). Entre deux monsters of the week comme des oiseaux cosplayeurs ou autres limaces mangeuses de racistes, se dessine un groupe plus organisé, le Panthéon, dont le premier représentant était le Fabriquant de Jouets (techniquement, Fifteen l’a affronté). S’en suit Maestro, puis Sutekh, ramené de la série classique (et le Mara de la série classique et le Trickster de Sarah Jane Adventures sont cités). Tier List des épisodes Je me réserve bien entendu le droit de changer d’avis au cours du temps et des revisionnages. Ce classement dépend avant tout de mon degré de plaisir devant l’épisode, pas de la qualité objective. Avis rapide sur chacun de ces épisodes : The Church on Ruby Road (spécial Noël 2023) Un excellent épisode bien qu’ayant quelques bémols comme le Docteur qui met un peu trop de temps pour quelqu’un d’aussi expérimenté à comprendre ce qu’il s’est passé durant l’un des retournements de situation. Sinon, c’est à la fois un épisode de Noël plein de bons sentiments, de magie festive et de bizarreries hors sol, mais aussi une bonne introduction à la série, au nouveau Docteur et à la nouvelle compagne ( et rien que d’avoir concilié ces deux aspects mérite d’être salué). Le nouveau ton adopté est efficacement mis en place, avec le côté plus fantastique et moins hard SF, cette chanson des Gobelins juste légendaire (alors que ça parle de bouffer des bébés, quoi !) ou l’intrigante voisine qui brise le quatrième mur. Ben quoi, vous n’avez jamais vu un TARDIS ?
Space Babies (saison 1, épisode 1)
D’un côté, c’est un épisode que l’on retiendra pour son humour…on va dire régressif. Je n’ai jamais aimé que RTD verse dans le « c’est marrant parce que c’est dégueu » (les Slitheens, l’Absorbaloff…) tout en admirant sa capacité à quand même créer des histoires touchantes en partant de cela (comme le sympathique groupe L.I.N.D.A. ou le traitement de Jacky dans l’épisode en question). Ici, c’est pareil, on a un vaisseau-prout et un monstre crotte de nez qui terrorise des pauvres ch’tits nenfants mais en fait il n’est pas méchant, juste incompris. Qui plus est, cela me rappelle Sleep no More, un des pires épisodes de la New Who (quoi que pour être honnête, au moins Space Babies est divertissant et ne donne pas ironiquement envie de s’endormir devant). Mais d’un autre côté, je me demande si RTD ne s’attendait pas justement à être critiqué sur cet aspect et en a fait des caisses (sans jeu de mot) pour mieux troller, et ma foi, je ne peux qu’éprouver du respect pour son audace. N’empêche que comme épisode qui montre le premier voyage de la compagne, End of the World (que cet épisode-ci référence allégrement) était mieux dosé entre le burlesque kitsch et l’action tendue (bon, au moins Ruby est plus proactive que Rose et les effets spéciaux sont plus réussis, mais j’ai envie de dire, encore heureux). Et puis, j’aime bien le gag du papillon. Je suis Rubathon Blue des éclosions du 57ème Hémisphère !
The Devil’s Chord (saison 1, épisode 2) Diffusés la même semaine, Space Babies et The Devil’s Chord sont diamétralement opposés et pourtant de parfaits exemples de ce que la série a à proposer. Après un épisode dans le futur, un épisode dans le passé. Après l’espace intersidéral, la Terre. Après un base under siege très SF, une histoire plus conceptuelle et fantastique. Après le monstre dégueulasse et moche mais en fait gentil, un antagoniste déjanté au look soigné mais vraiment maléfique et dangereux. Après un épisode léger sans trop d’incidence, et un autre qui envoie du lourd à propos du fil rouge et fait du méta. De l’humour dans les deux cas, mais pas de la même catégorie. The Devil’s Chord m’a beaucoup plus emballée, même si je lui reproche d’avoir gâché les Beatles (encore une fois, on en a fait tout un foin dans la comm’ et au final, il n’y en a que deux sur quatre qui ont droit à des lignes de dialogue, et encore, pas énormément, et s’ils sauvent tout à la fin, ils brillent par leur manque de présence tout au long de l’épisode, c’est justifié par une question de droits d’auteurs, on ne pouvait pas les faire chanter, mais ça reste dommage). Mais sinon, j’ai bien aimé le scénario, Maestro est mémorable en tant qu’antagoniste et le digne enfant du Fabriquant de Jouets, même si j’ai rarement vu un personnage mâcher autant le décor (pour prendre une expression anglophone qui sonne bizarre en français). Le chanson finale était amusante mais un peu trop longue à mon goût (je préfère celle du chien déso). Boom (saison 1, épisode 3) Sinon, je ne dis pas que je me suis ennuyée, mais je n’ai pas réussi à vraiment me sentir impliquée, et la gamine n’a pas l’air de savoir jouer la tristesse. 73 yards (saison 1, épisode 4) Le retour de la tradition de l’épisode « Doctor-lite » ! Ironiquement, j’y ai retrouvé la patte de Moffat davantage que sur le précédent. Quoi qu’il y a aussi pas mal de Turn Left et l’un des derniers épisodes de Sarah Jane Adventures. Et bien entendu, on pensera à ce qui arrive à Amy dans The Girl Who Waited ou à Bill dans World Enough and Time, bien que le thème de la solitude soit abordé différemment. Je ne nierai pas que les situations de ces deux-là ne sont pas horribles, mais au moins c’est hors du commun et on peut se consoler en se disant que ça n’arriverait jamais dans la vraie vie. Par contre, ce qu’endure ici Ruby qui passe sa vie entière seule malgré le fait de toujours faire partir de la société, rejetée par sa famille, incapable de nouer des liens avec qui que ce soit et mourir abandonnée de tous, c’est un autre type de solitude, et du genre extrêmement banale mais tragique, et faisant écho à une peur très légitime que nous éprouvons tous. Dot and Bubble (saison 1, épisode 5) Jodie Whittaker avait joué dans un épisode de Black Mirror, il fallait que tôt ou tard il y ait renvoi d’ascenseur... (ça m’a surtout fait penser à un certain épisode que je ne nommerai pas pour éviter de spoiler ceux qui ne connaissent pas, mais on y suivait également un personnage qu’on était amenés à prendre en pitié pour mieux révéler à la fin qu’on nous avait piégés en nous faisant nous attacher à une sacrée ordure et ça donne envie de haïr l’humanité toute entière). Quand je reverrai celui-ci, je prendrai beaucoup de plaisir à repérer tous les indices plus subtiles qu’on manque au premier visionnage (et à me moquer de cette gourde de Lindy, infichue de mettre un pied devant l’autre ou de savoir quand elle doit pisser sans assistance). Ça compensera la fin de l’épisode, incroyablement frustrante (pour ne pas dire rageante) mais tristement réaliste (et très raccord avec le fatalisme de Black Mirror justement). Ou le sort de ce pauvre Ricky, trop bon pour ce monde cruel. J’ai sauvé une bande de sinistres crétins ingrats et racistes… /Rage Quit !
Rogue (saison 1, épisode 6) Je n’ai jamais lu Les Chroniques de Bridgerton ni regardé la série qui en est l’adaptation. Pour tout dire, cela ne m’attire pas. Mais je sais reconnaître de la fanboy/girl-attitude quand j’en vois, et en cela Rogue était un épisode savoureux. On y rencontre le personnage éponyme, qui envoie une bonne vibe de Jack Harness ou de River Song. D’ailleurs, il aura une romance avec le Docteur, un peu trop vite expédiée (et en même temps, avec celui alloué on ne pouvait faire autrement), mais le côté fanfiction assumée rend le tout digeste. Un épisode léger, calme avant la tempête, et un peu comme Space Babies il me fait un effet de « ça n’aurait pas détonné dans la série de 2005, mais y’a un meilleur budget quand même ». Et sinon, on en parle du Docteur de Richard E Grant qui se fait canoniser? Cocasse quand on se dit que ce Docteur avait justement perdu son statut canonique au moment où RTD a lancé le revival. The Legend of Ruby Sunday /Empire of Death (saison 1, épisodes 7 et 8) N’y allons pas par quatre chemins : on est dans du pur RTD avec des deus machina et du tire-larme. J’ai plus d’une décennie de whovianité derrière moi, j’ai appris que chicaner sur les détails était un frein au plaisir (même si « plaisir » est un grand mot, j’ai trouvé ce final de saison plutôt tiède). Je ne m’attarderai donc pas sur ce qui pourrait être jugé décevant. Et donc, retour d’un méchant classique, qui apparemment était agrippé au TARDIS depuis Pyramid of Mars, ce qui veut dire qu’il était là : -à chaque fois qu’il y a eu plusieurs TARDIS au même endroit lors des multi-Doctors -quand Fifteen l’a dédoublé avec le marteau du Fabriquant de Jouets -quand il s’est barré des confins de l’univers en jouant Wild Blue Yonder -quand la Hapiness Patrol l’a repeint en rose -quand il a été rétréci (ce qui est arrivé deux fois, la seconde Clara l’a fourré dans son sac) -quand Jack s’est accroché dessus lui aussi -quand il était prisonnier d’une boucle temporelle où il explosait avec River dedans -quand une gamine l’a fait disparaître en crayonnant -quand il s’est retrouvé à l’intérieur de lui-même à cause de la jupe d’Amy, du mari d’Amy et du sol en verre du Docteur -quand son âme a été arrachée pour se retrouver dans Idris et que le Foyer a pris possession de sa coquille physique -quand le Flux a tout bouffé autour de lui et qu’il a dû se dire : « Eh, mais c’était MON idée ! » -quand le Maître l’a fait se cannibaliser pour créer une machine à paradoxe -tout ce que à quoi je ne pense pas...eh ben, il en a vu, des choses ! Et le manteau blanc de Mrs Flood ressemble un peu trop à celui de Romana, mais ça a l’air trop gros, sûrement une fausse piste. I've got a dog. He's called Fred
My dog is alive. He's not dead
I love my dog. He loves me too
I haven't got a cat. Only a dog
Joy to the World (spécial Noël 2024) Un épisode de Noël typique, un épisode de Moffat typique (la flemme de remplir le bingo mais ça doit le faire). Avec une conclusion bien cucul-la-praline de circonstance, mais qui fait du bien. Ça passe crème parce que c’est Noël, mais c’est clair que c’est pas A Christmas Carol. Article précédentsur Doctor WhoSommaire WhoniverseEcrit par Campanita, le Mercredi 5 Février 2025, 11:46 dans la rubrique "9ième art".
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