Joueb.com
Envie de créer un weblog ? |
ViaBloga
Le nec plus ultra pour créer un site web. |
Bienvenue
Hello, je suis Campanita. Juste un petit blog pour partager mes petites créations ainsi que mes impressions sur le monde... Vous pouvez emprunter les images de mes peintures et dessins, mais veuillez me créditer si vous le faites.
Vous cherchez un article en particulier? Par ici!
...ou par-là!
9ième art
Billets d'humeur Bouquins Cosplay Divers Films Jeux Vidéo Mes autres modestes petites créations Mes modestes petites peintures Mes modestes petits dessins au crayon Mes modestes petits dessins au pastel Musique Séries Télé
Voyons ce qui se raconte dans la jouebosphère...
|
Zelda Manga : A Link to the Past
--> a link to the fast, ouais!
Je n’ai pas de rubrique “Critique jeux video”, parce que je suis loin d’être une gameuse suffisamment active pour ça, mais vous avez du comprendre au fil de certains articles que j’aimais beaucoup l’univers de Legend of Zelda. Ma dernière visite de la Fnac s’étant conclue par l’acquisition des adaptations mangas de A Link to the Past et Majora’s Mask, voyons ce qu’il en est du premier cité. Le manga est signé Akira Himekawa (« la rivière de la princesse intelligente », si je traduis bien, ce qui n’est sans doute pas le cas, mais passons), il s’agit en fait d’un pseudo réunissant deux personnes, A. Honda et S. Nagano. Premier point positif, Link est blond. Oui, c’est un point positif. Je sais bien que d’un jeu à l’autre, on retrouve des personnages s’appelant Link et Zelda, et que ce ne sont pas forcément les mêmes individus, juste qu’ils ont les mêmes noms et les mêmes origines sociales. Et donc, faut pas s’étonner si la couleur de leurs cheveux varie d’un épisode à l’autre. Si Link est communément admis comme étant un blondinet, il est brun dans certains jeux et dans la série en dessins animés. Mais dans le jeu A Link to the Past, ses cheveux sont…roses. Et ça, j’ai toujours eu du mal avec. Comme si
être un Deuxièmement, il parle, le choupinet. Et pour dire autre chose que ci ou ça. Et il ne mange pas d’octorok non plus. L’univers est très bien respecté, mais malheureusement pas assez approfondi, malgré le potentiel. Le problème principal, c’est que finalement, c’est l’histoire d’un bouseux qui découvre qu’il est l’Elu et qu’il doit sauver une princesse et empêcher un méchant de transformer le monde en chaos, et la prophétie blablabla et trouver l'épée légendaire blablabla. Un scénario vu, revu, et rerevu. C’est bien parce que c’est Zelda et qu’on espère retrouver certains personnages et une certaine mythologie qu’on se décide à lire. Ça reste sympathique, mais ça ne va pas au-delà, ça ne cherche pas à exploiter l’univers ni même l’histoire du jeu pour créer quelque chose d’original et passionnant. Autre défaut : il s’agit d’un One-Shot, alors que plusieurs tomes auraient été nécessaires pour un travail bien fait. Le début, quoi que n’évitant pas les clichés du genre (Link est orphelin, son oncle, son seul parent en vie, est tué devant ses yeux, ect.) prend son temps pour tout mettre en place, et on se dit qu’on va passer un bon moment. Puis, au fil des
pages, on a l’impression que les auteurs avaient un train à prendre (si vraiment ils manquaient de temps, z'avaient qu'à utiliser l'ocarina, ha ha ha!). Plus l’histoire
avance, plus le rythme accélère, plus certains passages sont bâclés. Dans le jeu, on commence par trois donjons dans le monde de la lumière, avant qu’on nous révèle que c’était la partie facile, que maintenant, il va falloir s’en farcir sept autres dans le monde des ténèbres. Ça signifie qu’en toute logique, la deuxième partie est plus longue que la première. Eh ben, dans le manga, c’est l’inverse : que ça soit les donjons en eux-mêmes ou la progression de l'histoire entre deux d'entre eux, c'est réduit à l'extrême, et certains des combats contre les boss tiennent en une seule case ! Ça va vite, trop vite, comment voulez-vous savourer ? En ce qui concerne les personnages, Link est fade, Zelda trop lisse et trop parfaite, Aghanim (le soi-disant méchant de l’épisode) et Ganon (le vrai méchant) pas aussi terrifiants qu’ils auraient du l’être, et les autres complètement oubliables. Mentionnons tout de même un effort méritoire pour Ganty, une voleuse inexistante dans le jeu, qui rajoute une sous-intrigue qui aurait pu donner plus d’intérêt au schmilblick, mais finalement, son histoire est elle aussi expédiée à la va-vite. Dommage, car une nana effrontée et espiègle qui s’impose à Link comme compagne de route, ils auraient pu en faire quelque chose, de ce personnage. Globalement, je pense que ce manga avait du potentiel…mais qu’il ne l’a pas exploité. Peut-être que c’est le fait d’avoir un univers balisé et la peur s’attirer la fureur des puristes qui a coincé les auteurs, mais franchement, peuvent mieux faire. Et les dessins ? Euh…mouais, ils sont pas mal. The Minish Cap Ocarina of Time Oracle of Seasons/Ages Majora's Mask Phantom Hourglass Four Swords Adventures Ecrit par Campanita, le Jeudi 20 Septembre 2012, 14:24 dans la rubrique "9ième art".
Commentaires :
|
Qui va là?
It's dangerous to go alone, take this !
Mon compte Deviantart
Mon compte Fanfiction.net Mon compte Archive of Our Own Goth are smiling poeple Chaudron Bouillonne Cranistrips Floria Fanblog Tendance des Nombrils Nikkicréations
Ils ont laissé une trace de leur passage...
Campanita - Legend of Zelda : Tears of the Kingdom #2
Cari - Legend of Zelda : Tears of the Kingdom #1 Nini - J'ai joué à Link's Awakening sur Switch #1 Sylvain - Synesthésie #8 Anonyme - Les Nombrils, Tome 6: Un été trop mortel #18 Anonyme - Les Nombrils, Tome 6: Un été trop mortel #17 Campanita - Les Nombrils, Tome 6: Un été trop mortel #16 Azertyuiop - Les Nombrils, Tome 6: Un été trop mortel #15 Campanita - Les Nombrils, Tome 6: Un été trop mortel #14 Azertyuiop - Les Nombrils, Tome 6: Un été trop mortel #13
VWorp vwORP!
|
à 15:41